Dunkerque 2 Decembre 1887
Monsieur l'abbé et éminent Confrère[1]
Avisé officieusement par M. le Baron Kervyn de Lettenhove et par M. le Chevalier Ruzette de la faveur qui vient de m'etre accordée par le gouvernement de Sa Majesté je ne veux pas tarder un instant à vous remercier du "bon coup d'épaule" qu'à mon insu[2] et d'après les dires de notre ami commun, Monsieur l'abbé Flahault vous m'avez donné.
Veuillez, cher Monsieur l'abbé, recevoir ici toute l'effusion de ma gratitude et croire à l'absolu dévouement de
A. Bonvarlet