J'ai pu comprendre hier au soir combien je vous suis parfois importune. Et vous etes toujours si bon de n'en rien dire. J'ai été si confuse de vous avoir dérangé si tard, que j'en ai mal dormi. Je vous prie de m'excuser.
Je me corrigerai si bien, qu'à l'avenir, je me contenterai de ma confession hebdomadaire, et que, hors de là, je vivrai comme les gens qui, je suppose, n'ayant pas de coeur, n'ont jamais rien qui Leur pèse ou Leur sourit.
Que d'autres vous dérobent de vos précieux instants; moi, je ne le ferai plus.[2]
Vous avez mal jugé de Marie. Samedi et lundi, nous nous rendions tout exprès à Gand pour la cher. cher. C'est à sa propre prière que p2nous avons cédé en ne la ramenant pas.
C'est moi qui m’inquiète parce que je connais la cause de son mal et que cela me parait durer trop.
Je vous prie de nouveau de bien vouloir m'excuser, Monsieur le Vicaire. Je ne frapperai plus à votre porte.[3]