Si j'étais à votre place, j'essayerais de faire comprendre aux enfants[1] l'honneur et le bonheur qu'il y a de pouvoir obéir aux prescriptions de Dieu (par l'Eglise). Je ferais en sorte qu'illes soient suffisamment nourris; je leur ferais la faculté de composer elles mêmes leur dîner, déjeuner etc. en choisissant parmis les recets permis ceux qu'elles préfèrent. Ce serait une seconde édition de allerkinderendag,[2] une fête des enfants, une époque de l'année ecclesiastique qu'elles verraient volontiers revenir. Je leur suggererais les privations auxquelles se soumettent les pauvres en cette occasion: l'idee leur viendrait peut etre d'aller porter quelque p2soulagement, etc.[3]
Voila quelques idées que vous arrangerez à votre guise en me ferant l’honneur de croire que je suis