Lettre à M. le chanoine Vande Putte, curé de St.Martin, Doyen, Courtrai.
Je voudrais qu’il vous fût possible, l’un de ces jours, de vous rendre à Waereghem.
Mr. Fruy que je viens de voir, est des mieux disposé. Seulement avant que je le nomme d’une manière définitive, il faut que je sois fixé sur le traitement à lui garantir 1° par les sœurs, 2° par la Direction du nouvel Hospice. Vous voudrez donc vous entendre, à ce sujet, avec la Mère du couvent & avec M. le bourgmestre.
Les deux lettres que je vous communique ci-joint, vous prouveront que votre visite au couvent est bien nécessaire. Veuillez profiter de l’occasion pour voir avec la Mère, quelles sont les sœurs que je pourrai avantageusement détacher pour le service de l’Hospice.
Je sais que vous ferez ce que vous pourrez pour calmer & ramener le pauvre M. De Coninck; je laisserai son nouveau poste vacant jusqu’au 29 de ce mois.
J’espère que M. Le Curé de Notre Dame veillera à ce que son Vicaire ne sorte pas pour trois ou quatre jours[1] Qui sait?... Ne pourrait-il pas savoir aussi d’où viennent les lettres qui arrivent à l’Ecole [du St. Esprit]?