Je me réjouis de la bonne trouvaille que vous venez de faire, espérant en profiter, moyennant votre grande obligeance. Je viens de me procurer le Taalverbond complet et relié; vous n’en avez qu’une livraison, la toute dernière, que vous avez vouler me prêter. Le Taalverbond contient deux fragments des poésies de Martin van Torhout publiés par le Dr Vandermeersch.[1] Le dit Dr Vander Meersch annonce dans le Belgisch Museum qu’il possède un fragment de la vie de S. Werner; ce fragment n’est pas publié; peut-etre en trouverez vous une copie; je possede une copie d’un autre fragment de la même vie par le même auteur; je l’ai trouvé et copié à la Bodleiana d’Oxford.[2]
J’espere que Dieu guidera votre main, deja tout de fois heureusep2et qu’on finira par trouver. Mr Van Even me dit que le fameux musicologue d’Audenaerde V. d. straeten que vous connaissez, pourrait bien savoir ce que sont devenus les parchemins de Vander Meersch. Je lui ecrirai. Entretemps, mon cher Mr vander Haeghen, je vous remercie de vos bons souhaits et à mon tour je souhaite que l’année qui vient vous donne tout ce que votre coeur désire et tout ce que le mien désire pour vous. Mes bon souhaits de nouvel an à toute votre chere maison de Maelte.