Digne Tuteur,
Parmi les joies si vives réservées au jeune âge il en est peu d’aussi douces que celle que j’éprouve au premier jour de l’an.
Est-il en effet plus grande jouissance que celle de prouver son attachement à ceux que l’on chérit? Oui Tuteur vénéré vous m’êtes
forme pour vous
Votre dévouée cousine,
Flavie.
Meulebeke, 1er Janvier 1874.