18 Février 1887
Monsieur le Vicaire,
Mes ouvriers[1] m'ont demandé de vous adresser un exemplaire imprimé du discours qu'ils ont prononcé sur la tombe de mon regretté mari[2] Je profite dela même occasion, pour vous remercier de tous les secours spirituels, que vous avez portés à mon cher défunt; et vous prie, de dire des messes et des prières pour le montant du billet ci-joint.
Recevez, Je vous prie, Monsieur le vicaire, mes salutations respectueuses.
Vve. AlbertBenoit