Bailleul le 7 octobre
1895
Monsieur le docteur et honoré Confrère,
M.r le président Bonvarlet me charge tout spécialement de vous remercier de votre hommage en vers à Meyere. Il est regrettable que vous n'ayez point pris la parole au repas. Chacun s'attendait à la note flamande, dont la place était toute marquée dans le concert d'hommages[1] adressés à Meijere.
Je vous adresse ci-inclus l'épreuve de votre poésie, Vousp2seriez bien aimable de me la retourner le plus tôt possible. Elle paraitra dans le Bulletin du Comité et dans le volume que notre société consacrera à notre grand Meyere et qui sera adressé à tous les souscripteurs du monument
Votre bien respectueusement dévoué
Eugène Cortyl