Les tirés à part[1] demandés sont prets. Seulement, M. le chanoine Rembry me prie de vous faire savoir que vous les recevrez "ensemble avec l'exemplaire qu'il vous destine de son travail"; il m'écrit, du reste, les lignes qui suivent: ".... si vous les lui transmettez maintenant, il les distribuera à ses amis et connaissances, et dès lors tout l'intérèt de l'article, je veux dire la nouveauté, aura disparu. Je tiens à ce que vous le lui disiez, en le priant de ne pas insérer son travail dans des journaux ou autres publications; il m'a accordé les primeurs...."
Tout cela est vrai, très-vrai et je ne puis que donner raison à M. le Chanoine. Il vaut donc mieux ne pas vous envoyer les t. à. p. et je vous prie de patienter. Il vous a déjà fallu tant de patience dans la vie, que vous ferez sans murmurer, j’en suis convaincu, le sacrifice qui vous est demandé.