Bruges 16 Avril 1873
Monsieur le Vicaire Gezelle
Comme j’aimerais de tenir mes Pâques et de bien le tenir, mon Confesseur ne pouvant me donner l’absolution avant que je vous ai fais[1] mes excuses, je vous écris pour vous demander pardon de tout le tort que je vous ai fais par parole et par action.[2] J’espère que vous voudrez bien me pardonnez et qu’aussitôt que possible j’aurai une réponse favorable afin que je puisse avoir le bonheur de communier p2en toute tranquilité[3]
Veuillez recevoir, Monsieur le Vicaire l’assurance de ma parfaite considération.
Mde Renodeyn[4]
pour Stéphanie Hendryck